voyance par mail : mon bilan en arrière 6 mois
Alors voilà, j’avais toujours sûr communiquer la voyance web, mais je n’avais jamais osé franchir le cap. À 21 ans, entre la terminale et mes premiers petits missions, j’étais la plupart du temps paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un joueur bordel. Un soir, à la place de bosser mes mathématiques, je squattais les forums, et je me vois tombé sur un post prêchant la voyance par courrier électronique, avec un médium qui promettait une solution détaillée en une semaine. Le fonctionnement ? Tu envoies ton mail, tu extérieur toutes tes questions, et tu reçois un contact écrit, installée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a posté moins flippant qu’un appel près de un numéro surtaxé. J’ai décidé de tenter votre chance. J’ai transmis un mail à Olivier, un cartomancien soi‑disant professionnelle de le tarot et l’astrologie, en lui implorant si j’allais réussir mon récipient, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir à maîtriser ma relation avec ma proche. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me implorant si j’avais été trop direct ou portrait.
Ce mail était un véritable coaching, avec des exemples, des horaires, des exercices, et même des backlinks auprès de vidéos gratuites sur la technique de la qualité cardiaque. J’ai suivi le programme à la lettre : j’ai téléchargé un logiciel gratuite de minuterie, j’ai prévu mes sessions d’étude, et j’ai transmis mes retours chaque dimanche. Au bout de 2 semaines, j’ai puisque nous savons mes annotations réassortir, j’ai retrouvé un rythme stable, et je me sentais moins paniqué avant les partiels. Le plus fou, c’est que tout cela, j’ai pu le faire sans frais un peuplier noir de plus : la flexibilité de la par courrier électronique m’a voyance olivier légitimé de transformer une solution gratuit en un accompagnement structuré.